Kim « Daisy » Nelson a transformé la recette de gâteau héritée de sa famille en une entreprise d’un million de dollars. Sa boulangerie Daisy Cakes, basée à Pauline, en Caroline du Sud, est connue pour ses gâteaux tamisés à la main et faits maison, qui sont maintenant expédiés dans tout le pays.
L’entreprise a démarré en 2009 avec Nelson et sa mère qui faisaient tous les gâteaux eux-mêmes. Mais après une apparition dans l’émission « Shark Tank », Nelson est passée de 2 000 gâteaux vendus en un an à 2 000 gâteaux vendus en un seul jour. Pour développer votre propre entreprise, découvrez comment cette entrepreneuse et mère de trois enfants a redimensionné son activité de boulangerie pour devenir une source d’un sérieux pognon.
- Tout a commencé avec une recette de famille et une passion pour la pâtisserie
- Morsure du virus de l’entrepreneuriat
- Se lancer à son compte
- Mise en route de son entreprise
- Spread the Word
- Swimming With Sharks
- Une demande écrasante
- A Six-Figure Loss
- Retour aux sources
- Heading West
- Setting New Goals
- Le doux goût du succès
- Le meilleur conseil de Nelson pour les autres aspirants entrepreneurs
Tout a commencé avec une recette de famille et une passion pour la pâtisserie
Nelson a appris à cuisiner avec ses grands-mères et sa grand-tante, qui ont commencé à lui enseigner leurs recettes dès son plus jeune âge.
« J’étais si jeune que je devais m’asseoir à genoux sur mon petit tabouret jaune pour atteindre le comptoir », a déclaré Nelson.
Morsure du virus de l’entrepreneuriat
Nelson a été mordue par le virus de l’entrepreneuriat très tôt. Presque aussitôt qu’elle a commencé à faire des gâteaux, elle les a vendus.
« J’ai vendu mon premier gâteau quand j’avais 10 ans », dit-elle. « C’était un gâteau jaune avec un glaçage au chocolat. Je l’ai vendu pour la somme énorme de 7 dollars ! Depuis, je n’ai jamais cessé de cuisiner et de vendre des gâteaux. »
Se lancer à son compte
L’amour de Nelson pour la cuisine et la pâtisserie l’a amenée à travailler dans le secteur de la restauration. Mais après plus de 20 ans à travailler pour d’autres personnes, elle savait qu’elle était prête à lancer sa propre entreprise.
« Ma mère et moi avons décidé de simplifier les choses et de revenir là où tout a commencé », dit-elle. « Nous avons lancé Daisy Cakes en juin 2009. »
Mise en route de son entreprise
Nelson a lancé Daisy Cakes avec un investissement initial de 93 000 $ de ses parents. Même si elle avait des milliers de dollars en jeu, elle n’a jamais remis en question la réussite de son entreprise.
« Je n’avais aucune crainte en lançant Daisy Cakes », dit-elle. « Je faisais ce que j’aime. L’ignorance est et était la félicité ! »
Spread the Word
Nelson a rapidement découvert que la gestion de son entreprise impliquait bien plus que la préparation de gâteaux. Elle et sa mère avaient besoin de faire passer le mot pour développer leur entreprise, alors elles ont emmené leurs gâteaux sur la route. Elles ont participé à des salons de vacances de la Junior League en Louisiane et ont été vendeuses au marché Casse-Noisette de Houston.
« C’est comme ça que la fête a commencé – avec beaucoup de kilomètres de conduite et de vente de Daisy Cakes », dit-elle.
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Swimming With Sharks
En avril 2011, Nelson est apparu dans « Shark Tank » et a fait mordre l’un des requins. Barbara Corcoran a accepté d’investir 50 000 dollars pour une participation de 25 % dans Daisy Cakes. Non seulement Nelson a obtenu un investisseur et un mentor inestimables grâce à l’émission, mais l’exposition a également fait exploser les ventes.
« Notre première année, nous avons vendu environ 2 000 gâteaux. Ma mère et moi les avons préparés et expédiés nous-mêmes. Après la diffusion de ‘Shark Tank’, nous avons reçu plus de 2 000 commandes en 24 heures », a déclaré Nelson. « Le site web a explosé, les lignes téléphoniques ont été coupées. C’était le chaos et la pagaille sous stéroïdes ! C’est une bonne chose que je prospère dans le chaos. »
Une demande écrasante
Bien que l’émission ait été excellente pour les affaires, Nelson admet qu’elle et sa mère n’étaient pas préparées à répondre aux nouvelles demandes.
« L’énorme augmentation des ventes nous est tombée dessus si rapidement que nous n’avions pas de plan », a déclaré Nelson. « Personne ne s’attendait à la formidable augmentation des ventes si rapidement. Les producteurs de ‘Shark Tank’ et ma nouvelle partenaire, Barbara Corcoran, ne le savaient pas non plus. »
A Six-Figure Loss
Pour essayer de suivre le volume important de commandes, Daisy Cakes a déplacé une partie de sa production vers trois boulangeries de grande production. Malheureusement, la qualité de certains des gâteaux produits n’était pas conforme aux normes de l’entreprise.
« Nous avons fini par perdre 6 500 gâteaux en raison de la mauvaise qualité, au coût de 165 000 $ – ce qui se serait traduit par 300 000 $ de ventes », a déclaré Nelson. « La perte a été catastrophique. C’est un miracle absolu que nous soyons encore en activité. »
Retour aux sources
Après le désastre de la grande boulangerie, Nelson a réalisé qu’elle devait trouver une meilleure solution pour faire évoluer son entreprise tout en maintenant l’intégrité de sa recette familiale originale.
« Avec la sagesse et les conseils de Barbara, il n’y avait rien d’autre à faire que de ramener toute la cuisson et l’expédition en Caroline du Sud et de cuire autant de gâteaux que nous pouvions, et de faire savoir aux clients de bien vouloir passer leurs commandes tôt », a déclaré Nelson. « Nous cuisinons chaque semaine pour les gâteaux qui sont expédiés la semaine suivante. Nous avons découvert que c’est le meilleur moyen de garantir la qualité. Personne ne va cuire mes gâteaux comme je le fais. Ces autres boulangeries n’avaient pas la main à la pâte, et ça se voyait. »
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Heading West
Un facteur qui avait continué à nuire aux résultats de Daisy Cakes était ses frais d’expédition élevés. Cela est devenu encore plus une douleur lancinante pour Nelson après l’explosion des ventes découlant de l’apparition de « Shark Tank », avec plus de personnes de la côte ouest voulant des gâteaux.
« Le coût de l’expédition d’un gâteau périssable dans un grand et lourd conteneur d’expédition isolé avec de la glace sèche a toujours été un problème », a-t-elle déclaré.
Alors, en 2019, Nelson a décidé de tirer la gâchette et de lancer une deuxième boulangerie à Las Vegas.
« Après des mois de réflexion, j’ai décidé de prendre le risque plutôt que de vivre avec des regrets », a-t-elle déclaré. « Le 31 mars 2019 – l’anniversaire de ma grand-mère Nervielee – mon fils, Sam et moi avons décollé pour Las Vegas. Nous sommes arrivés le 2 avril dans notre nouvelle maison et nous nous sommes préparés à lancer Daisy Cakes West. »
Setting New Goals
Daisy Cakes vend actuellement environ 18 000 gâteaux par an – ce qui représente environ 1,2 million de dollars de revenus annuels – et Nelson espère que ce chiffre sera encore plus élevé en 2020 avec leur nouvel emplacement sur la côte ouest. Elle prévoit également d’élargir leurs offres.
« Mes objectifs futurs pour Daisy Cakes comprennent l’ajout de nouveaux Minikins végétaliens à la gamme », a déclaré Nelson. « Les options à base de plantes sont un must. Je suis impatient de me lancer. »
Le doux goût du succès
Bien que le fait d’avoir sa propre entreprise n’ait pas toujours été une promenade de santé, Nelson est heureuse de la situation actuelle de Daisy Cakes.
« Si je pense que Daisy Cakes est une entreprise prospère, je pense aussi qu’il est très important de ne jamais se reposer sur ses lauriers », a-t-elle déclaré. « Je travaille dur chaque jour pour m’assurer que mes gâteaux sont aussi délicieux que les gâteaux de mes grands-mères et de ma grand-tante Daisy. »
« Pour moi, le succès est la tranquillité d’esprit de savoir que je me lève chaque jour et que je fais ce que j’aime », a-t-elle poursuivi. « Je rends les gens heureux avec un produit délicieux et heureux. Cela, en retour, me rend encore plus heureuse. »
Le meilleur conseil de Nelson pour les autres aspirants entrepreneurs
Nelson a partagé ses conseils pour toute autre personne qui rêve de transformer sa passion en entreprise : « Toute personne qui crée une entreprise doit réaliser que cela demande de l’engagement et des sacrifices », a-t-elle déclaré. « Il n’y a absolument rien de facile. Vous devez être prêt à vous engager à 110 %, avec beaucoup de sang, de sueur et de larmes dans le mélange. »
Et elle a également offert ce conseil très pratique : « Vous pourriez également avoir besoin d’un compte bancaire séparé pour les frais d’avocat, car il y a de fortes chances que vous en ayez (besoin) en cours de route. »
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