Le produit intérieur brut (PIB) de la région était de 177,0 milliards d’euros en 2018, soit 7,5 % de la production économique française. Le PIB par habitant ajusté au pouvoir d’achat était de 26 500 euros, soit 88 % de la moyenne de l’UE27 la même année. Le PIB par salarié était de 101 % de la moyenne de l’UE.

L’économie de la région repose sur plusieurs piliers : une agriculture diversifiée, un ensemble de vignobles réputés (vin de Bordeaux, eaux-de-vie de Cognac et d’Armagnac), mais aussi un rôle déterminant dans les secteurs de l’industrie aérospatiale, de la défense, des biotechnologies, de la chimie et plus généralement pour la recherche scientifique, en s’appuyant sur un réseau d’universités et de grandes écoles.

Le quartier d’affaires de Mériadeck à Bordeaux, resté à taille humaine.

La Nouvelle-Aquitaine peut également compter sur une importante filière image et numérique (« Campus de l’Image » d’Angoulême, future « Cité Numérique » de Bègles), un réseau dense de petites et moyennes entreprises, la présence sur son territoire de grandes entreprises agroalimentaires ainsi qu’un réseau portuaire comprenant trois grands ports de commerce étant équilibrés du fait de leur position géographique (Grand Port maritime de La Rochelle au nord, Grand Port maritime de Bordeaux et port de Bayonne au sud). En 2013, une enquête menée par l’hebdomadaire  » L’Express  » a classé Bordeaux au deuxième rang des villes françaises  » business friendly  » dans la catégorie des villes de plus de 500 000 habitants (et du meilleur environnement économique), Poitiers, La Rochelle et Bayonne respectivement en deuxième, troisième et quatrième position dans les agglomérations de 100 000 à 200 000 habitants. En 2014, une nouvelle enquête, menée cette fois par l’Institut « Great Place To Work », donne Bordeaux comme ville considérée comme la plus attractive par les salariés.

Le nouveau territoire dispose d’atouts naturels et patrimoniaux qui en font une destination touristique de premier plan, matérialisée par une large façade océanique structurée autour de trois grandes stations « historiques » (Arcachon, Biarritz et Royan), une série de stations de sports d’hiver au cœur du massif pyrénéen (Gourette, Le Somport) et des sites historiques de premier plan (grottes de Lascaux, cité médiévale – et  » Mecque du vin  » – de Saint-Émilion, village martyr d’Oradour-sur-Glane) visités par des centaines de milliers de visiteurs chaque année.

Secteurs agricole et viticoleEdit

Région rurale importante, la Nouvelle-Aquitaine possède une agriculture variée. L’élevage bovin (races régionales : Limousin, Bordelais, Parthenais, Blonde d’Aquitaine, Gasconne, Bazadais et Béarnaise) est prédominant dans le bocage Bressuirais et Confolentais et dans la plaine Aunisienne, sur le haut plateau Limousin, dans les collines Bazadaises et Chalossiennes et est utilisé aussi bien dans la production de viande que dans la production de lait. Il existe également deux autres races bovines régionales n’appartenant pas à la liste des races officielles françaises (Marinelandaise et Betizu) en voie de disparition. La région dispose de nombreux labels de qualité (« Veau fermier élevé sous la mère », bœuf limousin…).

Blonde d’Aquitaine dans les Pyrénées.

Les chèvres (races régionales : poitevine, pyrénéenne et du Massif central) sont principalement concentrées dans le nord de la région (Charente, Charente-Maritime, Deux-Sèvres et Vienne) et sont utilisées pour la fabrication de fromages (chabichou, mothais sur feuille, jonchée). Ces quatre départements représentent à eux seuls 30% du cheptel caprin français, soit plus de 200 000 têtes. Certains départements complètent cette zone (Corrèze et Dordogne avec une partie de la production de l’AOC Rocamadour). L’élevage ovin (races régionales : Basque-béarnaise, landaise, limousine, manech tête noire, tête rouge et Xaxi Ardia) est bien représenté dans le Limousin (agneau du Limousin) les Charentes (agneau Poitou-Charentes), le Médoc (agneau Pauillac) et les Pyrénées basques et béarnaises.

L’élevage porcin, qui représente une part importante du secteur agroalimentaire est réparti sur l’ensemble de la région (races régionales : cul noir Limousin, tarte au porc gascon noir basque) et est garanti par le label « porc du Sud-Ouest « . Les porcs de la région sont utilisés pour produire de nombreux produits carnés, à commencer par le fameux jambon de Bayonne. De nombreuses exploitations se sont également spécialisées dans la production de volailles dont le poulet jaune Saint-Sever et la volaille de Sèvres val (races régionales Barbezieux, Limousin, Gascogne, Landes et Marans) et de gibier d’eau gras (canards mulets et oies), destinés principalement à la production de foie gras et de confit. La Nouvelle-Aquitaine est la première région européenne pour le foie gras (plus de la moitié de la production française). Le label « Canard à foie gras du Sud-Ouest » occupe une grande partie de la région.

La région est le berceau de nombreuses autres races (races régionales d’ânes : Pyrénées et Poitou, équidés régionaux : Mule poitevine, Landais et Pottock).

La région est également un important centre de production d’huîtres, avec les huîtres  » de Claires  » de Marennes-Oléron (dans l’estuaire de la Seudre) et celles d’Arcachon et du Cap Ferret et une place forte de la moule avec les moules de la baie de l’Aiguillon (près de La Rochelle) et les moules de Boyardville et de Port-des-Barques.

La diminution des ressources halieutiques a entraîné une baisse du tonnage de poissons dans les principaux ports de la région, qui restent cependant très actifs. En 2014, le premier port de la région (port et huitième tonnage le plus élevé au niveau national) est celui de Saint-Jean-de-Luz-Ciboure, soit part environ 7600 tonnes de poissons, et activité annuelle 23 millions d’euros. Vient ensuite le port de La Cotinière sur l’île d’Oléron, sixième port de pêche français pour les ventes spécialisées dans les espèces « nobles » (5300 tonnes de poissons débarqués). Viennent ensuite les ports de La Rochelle, Royan, Arcachon, Capbreton et Hendaye.

Cognac, l’une des deux eaux-de-vie régionales célèbres avec l’Armagnac.

La viticulture est un secteur clé de l’économie locale, la région avec la présence de certains des plus prestigieux vignobles français : vignobles de Bordeaux, Bergerac, Cognac (production de Cognac et de Pineau des Charentes) et partiellement, Armagnac (production d’Armagnac et de Floc de Gascogne), vignobles du Sud-Ouest dans les vallées de la Garonne et du Lot, vignobles des coteaux des Pyrénées (jurançon, irouléguy) et vignobles du Haut-Poitou. Le vignoble du Limousin, autrefois prolifique, est aujourd’hui confidentiel, mais continue à fournir des vins de qualité (vignobles de Verneuil-sur-Vienne et vignoble corrézien, donnant notamment le pays du vin et le « vin paillé » corrézien de Queyssac-les-Vignes).

La région joue un rôle essentiel pour les cultures céréalières (blé), herbagères et oléagineuses (maïs, tournesol), qui fleurissent dans les vallées de l’Adour, de la Charente et de la Garonne. De grandes coopératives agricoles sont implantées dans la région : Lur Berri, Maïsadour, ou encore Natea Charentes Alliance. En Charente-Maritime, la petite ville de Saint-Genis-de-Saintonge a développé la plus grande unité française de production de pop-corn : 70% de la production nationale sort de ses ateliers.

La production de tabac reste importante dans la région de Langon autour de La Réole, Auros, Monségur et Bazas (Gironde), dans le Bergeracois, en Dordogne et dans le Lot-et-Garonne, qui ne lui est arrivé qu’à 14% du tabac français, soit près de 800 hectares. La polyculture a permis l’implantation de cultures plus localisées, mais néanmoins considérées : Les noix du Périgord, les pommes du Limousin, les fraises des vallées de la Dordogne et du Lot, les melons charentais des coteaux, les haricots (« mojhettes ») du val d’Arnoult et du Marais poitevin, les tomates de Marmande, les poivrons des Landes et du Pays basque, dont le représentant le plus célèbre est le piment d’Espelette.

Le secteur agroalimentaire se caractérise par la présence de plusieurs marques nationales et de sites de production internationaux, notamment Madrange (Limoges), Blédina (Brive-la-Gaillarde), Marie (Airvault et Mirebeau) Senoble (Aytré, près de La Rochelle ), Lu (Cestas, près de Bordeaux) Cémoi (Bègles, près de Bordeaux), Charal (Égletons, en Corrèze), Valade Group (Lubersac, en Corrèze) ou Lindt & Sprüngli (Oloron-Sainte-Marie). Labeyrie a son siège à Came dans les Pyrénées-Atlantiques et Delpeyrat à Mont-de-Marsan, dans les Landes.

Ressources forestièresEdit

La région dispose d’importantes ressources forestières.

La filière bois comprend deux grands types d’activités qui utilisent principalement le bois de la forêt landaise et secondairement celui de la Dordogne, de la Creuse, de la Corrèze et de la Haute-Vienne. Les industries de première transformation (pâte à papier, sciage, tranchage…) sont très souvent le fait de grandes entreprises pour réaliser des opérations qui nécessitent de gros investissements. Les industries de seconde transformation (papier/carton, meubles, menuiserie et contreplaqué, etc.) ne nécessitent pas autant de moyens. Elles sont plus dispersées géographiquement et aux mains d’entreprises de plus petite taille ou de l’artisanat.

La filière bois est suffisamment importante pour obtenir le soutien des collectivités locales au fil des années. Ainsi s’explique l’obtention du label de pôle de compétitivité national pour le « Xylofutur » dont l’objectif principal est de porter des projets innovants au bénéfice de l’ensemble de la filière. Directement liée à la filière bois, la papeterie charentaise s’est adaptée à la mondialisation en produisant des papiers spéciaux (papier d’emballage, papier ingraissable, papier recyclé et carton ondulé).

IndustriesEdit

La région est un pôle international majeur dans le domaine de l’industrie aéronautique et spatiale. Avec la région voisine Occitanie, elle appartient au pôle industriel de classe mondiale Aerospace Valley. Le secteur aérospatial régional est étroitement lié au secteur de la défense, ce qui conduit à parler d’industrie « ASD » (aéronautique, espace et défense).

L’industrie aéronautique régionale est un leader mondial pour les avions d’affaires, les batteries de haute technologie, les matériaux composites à haute performance, les systèmes de trains d’atterrissage et les turbines pour hélicoptères, le leader européen pour les avions militaires, les équipements et systèmes de cockpit, les essais au sol et en vol, les lanceurs, la propulsion solide, les radars et systèmes aéroportés, les systèmes d’armes de dissuasion, la technologie de rentrée atmosphérique et le leader national dans l’aménagement intérieur des ‘avions d’affaires, la maintenance des avions, les systèmes de drones.

De nombreux « Rafales » sont assemblés à Mérignac, dans la métropole bordelaise.

Les principaux sites sont situés dans la ville de Bordeaux, mais aussi dans les Pyrénées-Atlantiques et dans la Vienne. Parmi eux, Dassault Aviation dispose de cinq établissements à Mérignac (assemblage final et mise en service des vols Rafale et Falcon), Martignas-sur-Jalle (ailes d’avions civils et militaires), Biarritz (composites et assemblage de structures), Cazaux (intégration et essai d’armement) et Poitiers (production de voilure d’avions militaires). Le groupe Thales dispose de deux sites près de Bordeaux : Pessac (systèmes embarqués pour avions : calculateurs de mission, radars aéroportés de combat et de surveillance, systèmes aériens sans pilote) et Hailsham (conception et développement de systèmes de cockpit pour les principaux avionneurs mondiaux). Airbus Defence and Space (développement et production de lanceurs Ariane et de missiles balistiques pour la force nucléaire française) est situé à Saint-Médard-en-Jalles. Safran possède deux grands sites de production dans la région : Turbomeca (leader mondial des turbines d’hélicoptères) près de Pau et Snecma (entretien et réparation de moteurs militaires) à Châtellerault.

La région abrite également plusieurs bases aériennes militaires, dont un centre de commandement de l’armée de l’air française. Elle accueille également de grandes installations liées à la défense, comme le laser Mégajoule et le principal centre d’essais de fusées de la Direction générale de l’armement.

Le turbomoteur Turbomeca Arriel, fabriqué à Bordes (Pyrénées-Atlantiques).

L’industrie pharmaceutique et parachimique est particulièrement bien représentée dans la ville de Bordeaux : Sanofi dispose de trois sites en périphérie de Bordeaux, Ambarès-et-Lagrave (production) Floirac (informatique) et Saint-Loubès (logistique) ; le groupe Meda Pharma est implanté à Mérignac ; le groupe Merck exploite une unité de production à Martillac. Enfin, CEVA Santé animale à Libourne, avec plus de 500 salariés, créé à l’origine par Sanofi, aujourd’hui détenu par ses salariés, est (dans l’entreprise) le neuvième groupe pharmaceutique vétérinaire.

A Agen, la société UPSA (pharmacologie scientifique Union appliquée), vendue au groupe américain Bristol-Myers Squibb (BMS) en 1994, reste l’un des plus gros employeurs locaux et régionaux avec 1 400 salariés. Deux usines et une plate-forme logistique permettent au marché de livrer toute la gamme des analgésiques, de l’aspirine et du paracétamol à la morphine. Depuis 1994, le groupe américain investit régulièrement dans ses deux unités agenaises qui livrent la moitié de leur production à l’export.

Limoges, longtemps spécialisée dans l’industrie manufacturière et le luxe (chaussures, porcelaine…), est aujourd’hui un cluster majeur dans le domaine de la recherche sur la céramique (Pôle Européen de la Céramique). Legrand, groupe industriel français historiquement basé à Limoges dans le Limousin, est un leader mondial des produits et systèmes pour les installations électriques et les réseaux d’information. Le parc technologique Ester, est un centre d’affaires et de recherche qui se développe au nord de la ville sur plusieurs domaines : céramiques ; matériaux et traitements de surface ; électronique, optique et télécommunications ; biotechnologies de la santé ; eau et environnement ; ingénierie en association avec l’université de Limoges.

Niort a développé depuis de nombreuses années une économie basée sur le secteur financier (assurances), et compte aujourd’hui le quatrième plus grand nombre de flux sur la place financière française (derrière Paris, Lyon et Lille). Siège de nombreux fonds communs de placement, dont les « Trois M » (Macif, MAIF et Maaf), la ville est également septième pour ce qui est des postes à responsabilité. La part des emplois du secteur des activités financières et des assurances est bien plus importante que dans le reste du pays, atteignant 18% dans l’aire urbaine de Niort (contre 3,7% dans le reste de la France).

L’industrie pétrolière et gazière est également représentée dans la région, avec le gisement de Lacq près de Pau, qui était la principale source de gaz naturel de la France dans les années 1970.

TourismeEdit

Une vue du château de Fayrac à Castelnaud-la-Chapelle

Le tourisme est un secteur important dans une région qui possède des atouts non négligeables, à commencer par un climat doux et ensoleillé, des vignobles réputés (œnotourisme) et de nombreux sites patrimoniaux, dont certains de renommée internationale. Sa large façade océanique, prise d’assaut par des milliers de vacanciers – et de surfeurs – chaque été, se caractérise par des plages de sable fin qui s’étendent souvent jusqu’à l’horizon. Conséquence indirecte de la popularité croissante des sports nautiques, de nombreuses marques liées au surf (principalement des vêtements et du matériel) sont présentes dans la région, ce qui lui vaut le surnom de « Glissicon Valley » en référence à la Silicon Valley : Rip Curl, Billabong, Quiksilver, O’Neill.

La « Surf culture » très présente sur le littoral, ici à Lacanau, est à l’origine de l’implantation dans la région de marques liées à ce secteur (Rip Curl, Billabong)

Dans la partie nord du littoral, l’archipel charentais se compose principalement des îles de Ré, Oléron et Aix, où alternent criques abritées et plages ouvertes sur le large. La côte aunisienne, près de La Rochelle, accueille quelques stations balnéaires familiales comme Châtelaillon-Plage ou Fouras. Plus au sud, au cœur de la Côte de Beauté, Royan est l’une des trois grandes stations balnéaires de la région. Elle possède cinq plages, sans compter celles des communes voisines et la Côte Sauvage de la presqu’île d’Arvert, haut lieu du surf et des sports de glisse.

Au delà de l’estuaire de la Gironde commence la Côte d’Argent, grande étendue de sable presque rectiligne bordée de pins et de grands lacs landais, ponctuée de petites stations comme Soulac-sur-Mer, Vendays-Montalivet (célèbre pour son centre naturiste) Hourtin, Lacanau, Biscarrosse, Mimizan, Hossegor ou Capbreton. Le Bassin d’Arcachon, qui forme une échancrure entre la Gironde et la côte landaise, se concentre sur Arcachon, autre station balnéaire, nichée au cœur de la pinède. Elle fait face au Cap Ferret, battu par les vagues de l’océan. Dans le prolongement de la Côte d’Argent, la côte basque s’articule autour de Biarritz, haut lieu du tourisme balnéaire, Saint-Jean-de-Luz et Hendaye, et est célèbre pour ses falaises érodées et ses puissants rouleaux qui en font un lieu de prédilection pour les surfeurs.

Les amateurs de sports d’hiver trouvent dans les Pyrénées plusieurs stations où pratiquer le ski, le snowboard et le snowblade. Les principales sont Gourette, Artouste, La Pierre Saint-Martin, Issarbe, Le Somport, Iraty ou Somport-Candanchu.

De nombreuses stations thermales sont situées dans la région, à commencer par Dax, mais aussi Eaux-Bonnes, Eugénie-les-Bains, Saint-Paul-lès-Dax, Salies-de-Béarn, Cambo-les-Bains, Jonzac, Saujon, Rochefort, La Roche-Posay ou Évaux-les-Bains.

Parmi les autres sites à forte fréquentation, plusieurs ont une fréquentation supérieure à un million de personnes par an : le parc du Futuroscope à Poitiers (1.8 millions de visiteurs), le site le plus visité en dehors de l’Île de-France, la vieille ville de Sarlat (1,5 million de visiteurs), la dune du Pilat, près d’Arcachon, (1,4 million de visiteurs), ou la ville historique de Saint-Emilion, près de Libourne ( environ 1 million de visiteurs).

L’approche de l’Aquarium de La Rochelle (850 000 visiteurs), ainsi que le zoo de La Palmyre (700 000 visiteurs), le plus grand zoo privé d’Europe, près de Royan. Le village médiéval de Collonges-la-Rouge (500 000 visiteurs), le parc à thème Walibi du Sud-Ouest à Roquefort, près d’Agen (300 000 visiteurs), le petit train de la Rhune près de Bayonne (environ 360 000 visiteurs), le centre de la mémoire et le village martyr d’Oradour-sur-Glane, près de Limoges (300 000 visiteurs), les grottes de Lascaux – Lascaux 2 et 3 (250 000 visiteurs), le parc national des Pyrénées (200 000 visiteurs), la Cité de l’Ecrit de Montmorillon (110 000 visiteurs), le Centre international de la mer de Rochefort, les phares de Chassiron sur l’île d’Oléron, et le phare des Baleines, sur l’île de Ré (environ 100 000 visiteurs chacun), ou encore le parc animalier des Monts Guéret, dans la Creuse, site d’observation des loups en liberté et qui attire environ 45 000 visiteurs par an, sont autant de sites leaders en matière de tourisme.

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