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L’histoire de la balle au prisonnier

Avec la semaine de l’esprit qui arrive à grands pas, de nombreux étudiants et professeurs attendent avec impatience l’un des événements qui aura lieu, le tournoi de balle au prisonnier. Bien que vous puissiez voir le dodgeball comme un jeu amusant joué en classe de gymnastique, il a étonnamment une histoire derrière lui.

Il y a environ 200 ans en Afrique, le dodgeball n’était pas un jeu amusant, mais un jeu mortel. Plutôt que d’utiliser des balles molles, comme celles utilisées dans la plupart des cours de gym, les gens lançaient de grosses pierres. Les tribus utilisaient ce jeu pour s’entraîner. Chaque joueur avait pour objectif de blesser son adversaire. Si un joueur se faisait frapper, il se faisait frapper continuellement jusqu’à ce qu’il soit achevé. Pendant ce temps, leurs coéquipiers les défendaient tout en essayant de blesser leurs adversaires. Ce jeu mortel, mais utile, enseignait le travail d’équipe et la coopération entre les membres de la tribu.

Un missionnaire, nommé James H. Carlisle, y a assisté plusieurs fois. Une fois rentré en Angleterre, il a influencé ses pairs à pratiquer un sport similaire à celui pratiqué par les tribus. Il a transformé le jeu vicieux en un jeu plus sûr. Le gros rocher a été transformé en une balle en cuir. Le jeu se jouait stratégiquement sur un terrain ouvert, où le joueur était « out » s’il était renversé au sol par une balle. Cependant, les joueurs pouvaient repousser les balles à l’aide de bâtons. Il y avait d’autres variations de ce jeu qui étaient jouées.

Philip Ferguson a été témoin de jeux joués par le St. Mary’s College. Il a aimé le concept du jeu mais l’a changé pour que 2 équipes soient de chaque côté du terrain de jeu. Il a apporté cette idée jusqu’en Amérique, où les règles ont été officiellement établies en 1905. Le sport s’est rapidement répandu à travers la nation et est toujours pratiqué à ce jour.

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